Actualité
Didier réfléchit…
Tous les Turbulents en réunion (pause du midi)
Ce matin à l’abri de la pluie aux chapiteaux Turbulents…
Les phrases du jour:
« Tu ne comprends pas parce que c’est ma vie de nageur ».
« Je connais bien le mot de la fin, ce n’est pas la peine de m’en parler ».
« ça c’est le canard, il plonge dans la foire du trône ».
« La liberté, c’est un contrat de poésie ».
« La liberté, c’est aller dans le Lot en TGV ».
Enfermement…
Pour échapper à toutes ces formes d’enfermement, rien ne nous empêche de cultiver un jardin secret pour s’ébattre hors de la contrainte sociale, sauf que, bien entendu, ledit jardin demeure notre réalité, et sûrement plus encore que la réalité partagée avec nos plus ou moins semblables, un jardin bien protégé, fermé de toute part, protégeant quelque recoin secret propre à notre structure : un enclos dans l’enclos.
La danse des patins…
« Il était incapable de trouver des mots pour définir la faiblesse essentielle de l’humanité ».
« Le renouveau a toujours été d’abord un retour aux sources ». R.Gary
Lundi matin, après la pause du week-end lillois, retour à Paris, retour aux Chapiteaux, retour dans cet univers, ses couleurs, ses bruits, ses odeurs…au loin, le bruit du périphérique et de la ville agitée commencent à se faire oublier.
Nous sommes rentrés dans le petit chapiteau, l’arôme du café nous rentre dans les narines et nous attire au bar, c’est l’heure des bonjours et de la réunion hebdomadaire. Nous sommes rentrés dans le grand chapiteau, c’est l’heure de Trouble, la création, la danse, le chant, les textes…
Le périphérique et la ville agitée sont complètement oubliés jusqu’en fin d’après-midi.
Ce soir, quand on franchira la grille des chapiteaux, la ville nous re-frappera en pleine poire jusqu’au lendemain.