PREMIERES DE TROUBLE

Didier et Marie sont revenus de Paris où ils étaient pour les dernières répétitions de TROUBLE avec la Cie Turbulences.

Les premières ont lieu les 20, 21 et 22 septembre à 19H30 aux Chapiteaux Turbulents. Vous pouvez réserver en ligne sur le site de la cie Turbulences:

https://www.turbulences.eu/

Le stress et l’excitation commencent à monter…

Au revoir Chapiteaux.

Didier et Marie sont partis des chapiteaux hier soir après un dernier filage du spectacle TROUBLE. C’est un projet de création qui nous tient à coeur et que nous aimerions partager avec le plus grand nombre en septembre.

Il y a eu un drame l’année dernière aux chapiteaux qui a connu un incendie. Toute l’année a été une bataille menée par l’équipe pour se relever  et affronter les chantiers, les travaux, et l’administration française. Ils doivent faire repasser les commissions de sécurité pour l’ouverture aux publics mais la préfecture traine…On espère qu’ils auront leur RDV début septembre. Comme dirait Adrien: Affaire à suivre.

On peut quand même souligner l’investissement colossal de l’équipe encadrante des Turbulents et de son directeur qui, malgré les tempêtes, mettent toute leur énergie à faire vivre ce lieu et ses projets artistiques et culturels.

Et puis, ce qui est le top du top, c’est que, malgré tout, chez les Turbulents on rêve: et si on essayait d’emmener Trouble à Avignon? Possible, pas possible? Comme dirait Adrien: Affaire à suivre…

L’heure est désormais aux vacances pour tout le monde et il est temps. La fatigue se fait ressentir, il faut se vider la tête, retrouver le temps de l’amusement et des enfantillages. On aura grand plaisir à tous se retrouver début septembre…Merci à toutes et tous pour cette belle aventure.

Deuxième jour de bonus chez les Turbulents

On avait pas prévu les trois jours de juillet aux turbulents. On les a rajouté parce qu’on pensait que c’était bien de travailler encore un peu avec eux sur la création de septembre (ou alors on a trouvé une excuse pour revenir). C’est l’été, les Turbulents sont en vacances vendredi, l’équipe de France a gagné et Nadia part en retraite à la fin de la semaine. Beaucoup d’événements et de solicitations.
Nadia travaille depuis 10 ans aux chapiteaux, 10 ans de travail heureux et engagé comme le prouve la fête que les Turbulents ont organisé ce midi pour elle: devant un superbe couscous: des chants, des cadeaux, des danses, des pleurs et des rires pour dire au combien Nadia va leur manquer. On a tous envie de partir en retraite dans de telles conditions. Marie se demande si Didier lui écrira aussi un poème quand elle partira.

L’heure est à la reprise du travail en ce mardi après-midi alors que le démon de la fête nous a tous frappé. Rudy fait clignoter ses petites lumières, Didier met en scène, Gilles souffle dans son petit saxophone, Laetitia trapèze, les Turbulents sont en piste. Philippe et Fabienne se remettent de leurs émotions en faisant des imitations. Il fait très chaud sous la toile, nous devons tous trouver le courage de s’agiter. Nous sommes troublés.

 

Finito…

Trouble, la dernière partie de la résidence, c’est terminé. On a fait une générale ouverte aux proches des turbulents vendredi après-midi, les retours sont très encourageants. Tout le monde était très ému vendredi en fin d’après-midi. On a eu du mal à se quitter.

On tient à remercier toute l’équipe des Turbulents pour leur bel accueil, leurs belles énergies, leur investissement et tous les Turbulents pour exactement la même chose.

On remercie également beaucoup Patricio, Gilles, Fathia et Laititia pour leur collaboration artistique à ce projet.

On attend la suite avec impatience.

Trouble infini…

Vendredi matin. C’est le dernier jour. A 14H, on va montrer notre travail à une petite poignée de personnes triées sur le volet pour avoir des retours et clôturer cette période de résidence.

Tout le monde est excité, un peu stressé, faut bien le dire. Troublés, peut-être.
Mais aussi, très content du travail effectué depuis 7 semaines désormais.

HVDZ va être bien triste ou du moins, ému de partir ce soir. Mais on sait qu’on revient en septembre et comme le dit le vieux proverbe: A tout vivant, une fin!