Lundi matin, après la pause du week-end lillois, retour à Paris, retour aux Chapiteaux, retour dans cet univers, ses couleurs, ses bruits, ses odeurs…au loin, le bruit du périphérique et de la ville agitée commencent à se faire oublier.
Nous sommes rentrés dans le petit chapiteau, l’arôme du café nous rentre dans les narines et nous attire au bar, c’est l’heure des bonjours et de la réunion hebdomadaire. Nous sommes rentrés dans le grand chapiteau, c’est l’heure de Trouble, la création, la danse, le chant, les textes…
Le périphérique et la ville agitée sont complètement oubliés jusqu’en fin d’après-midi.
Ce soir, quand on franchira la grille des chapiteaux, la ville nous re-frappera en pleine poire jusqu’au lendemain.