Monchecourt
boite aux petits oublis numéro 7
Il fut une époque ou Monchecourt s’appelait Montchicourt .Si le « i » était resté droit dans ses consonnes les monchecourtois s’appelleraient des monchicursiens.
collezione particolare n°1

Boite aux petits oublis numéro 6
Devant la salle des fêtes, en plein rush avant le spectacle du Petit Chaperon rouge, on discute avec le président du club de marche, et Guy voyant une jeune fille poser avec : « Comme elle est belle la jeunesse qui s’en va si vite » dit: si elle savait, si elle savait à quel point c’est vrai … comme ça va vite, et nous de hocher la tête.
Tout commence …

Fin de journée
Fin de journée, devant la salle des fêtes / Amis, cousins, marmaille, parents, tata et tontons / Réunis pour venir voir / Le petit chaperon rouge / Joué par les élèves de l’école / Quelques citations jonchent le sol / il y a du vent, ça vole / ça bouge, Martine zoome / Hervé tient la caméra / Marion s’appuie contre un arbre, la tête en bas / Maggie tracte / Jérémie filme / Guy discute et Didier rigole / Spectacle des enfants / Mardi soir / Le soleil se couche de plus en plus tard / Il fait moins froid / L’air s’emplit / D’idées, d’odeurs / Pensée à Flora aux fleurs aux amis aux aimés et aux rencontrés / On a passé une magnifique première journée / Merci!
La femme du poète est une fleur

D'amour et de rires
L’après-midi a continué, de toute beauté. On a rencontré Giovanni le poète à la verve vivace et sa femme Martine à la répartie fort jolie. Quel couple incroyable! A eux d’eux, ils incarnent la vie et l’amour, le rire et l’humour! Tout en finesse, Martine se confie, préparant le café. Elle raconte son amour pour Rome, parle de ses filles réparties entre Lyon, Lens, Lille et Valenciennes, évoque ses déménagements successifs et les villes qu’elle a traversées et peu à peu, fait siennes. A la retraite, elle profite maintenant de son jardin et brode. ça la distrait. Elle élève les fleurs, les chats et tisse ses toiles de mille fils colorés. Giovanni, lui, se fait interviewer sur un banc en bois, au soleil, entre la cerise et l’orchidée. De fil en aiguille, d’histoire en histoire, les voilà tous deux réunis au salon. La discussion se poursuit, hors caméra, hors champs, et les liens se nouent. On parle Italia, dolce vita; la « mama », les enfants, les petits-enfants et la vie qui va, nous dore et nous cuit, comme un pain passé au four. On parle aussi de Monchecourt, du Festibaudet, des amis et de la poésie.La thermos de café souffle et soupire, Martine et Giovanni n’en finissent pas de rire. Et nous aussi. Le chat passe et repasse, pose et se repose, le chat gris. On dirait bien d’ailleurs, qu’il sourit lui aussi…
D’amour et de rires
L’après-midi a continué, de toute beauté. On a rencontré Giovanni le poète à la verve vivace et sa femme Martine à la répartie fort jolie. Quel couple incroyable! A eux d’eux, ils incarnent la vie et l’amour, le rire et l’humour! Tout en finesse, Martine se confie, préparant le café. Elle raconte son amour pour Rome, parle de ses filles réparties entre Lyon, Lens, Lille et Valenciennes, évoque ses déménagements successifs et les villes qu’elle a traversées et peu à peu, fait siennes. A la retraite, elle profite maintenant de son jardin et brode. ça la distrait. Elle élève les fleurs, les chats et tisse ses toiles de mille fils colorés. Giovanni, lui, se fait interviewer sur un banc en bois, au soleil, entre la cerise et l’orchidée. De fil en aiguille, d’histoire en histoire, les voilà tous deux réunis au salon. La discussion se poursuit, hors caméra, hors champs, et les liens se nouent. On parle Italia, dolce vita; la « mama », les enfants, les petits-enfants et la vie qui va, nous dore et nous cuit, comme un pain passé au four. On parle aussi de Monchecourt, du Festibaudet, des amis et de la poésie.La thermos de café souffle et soupire, Martine et Giovanni n’en finissent pas de rire. Et nous aussi. Le chat passe et repasse, pose et se repose, le chat gris. On dirait bien d’ailleurs, qu’il sourit lui aussi…
Giovanni, le poète


