Images de nuit dans la fac de droit. Le couloir rouge. Yasmin, dans le flux d’étudiants qui sortent du dernier cours. Dégradé d’éclairage. Cynthia dans les entrelacs angulaires de l’escalier vert. Adage sous un réverbère. Image grésillante. Pendant qu’au TU, sur le mur dehors, juste avant Baal, on projète les extraits de veillée. Mettre l’eau à la bouche. Poser des questions. Donner envie. Susciter la curiosité. Être là le plus possible.
Veillée # TU-Nantes
camille et le dragon bleu
une ideologie dominante qui disloque le langage
Nombreux sont les penseurs qui tirent la sonnette d’alarme concernant les déformations du langage et le pouvoir idéologique qui se cache derrière ces manipulations. Comment une idéologie dominante – au service de laquelle les médias travaillent au quotidien – disloque le langage, l’appauvrit, jusqu’à nous enlever la possibilité de penser le monde autrement que sur la base de cette idéologie ?
Noam Chomsky, Sur le contrôle de nos vies et tous les autres ouvrages / Eric Hazan, LQR, la propagande au quotidien / Howard Zinn, Histoire populaire des états unis et désobéissance civile et démocratie / Le Dictionnaire de la langue de bois de nos camarade de la scop le Pavé / Le collectif les mots sont importants
Monsieur hip hop, Mario et les autres
une discussion sur le dos du dragon bleu
En bas des tours Champlain, Tram Chêne des Anglais, on a dansé, et rencontré des gamins du quartier, des footballeurs en herbe, des danseurs hip hop en herbe et qui, quand ils ont vu Dorothée danser, on crié waou et applaudis aussi, et commenté. Moi si je fais ça, je m’étale direct. On a rendez-vous mercredi aprem, pour une discussion sur le dos du dragon bleu.
stade
Quel sera-t-il, mon bonheur ?
Non, je ne me tairai pas ! je veux savoir comment je m’y prendrai, moi aussi, pour être heureuse ? Tout de suite, puisque c’est tout de suite qu’il faut choisir. Vous dites que c’est si beau la vie. Je veux savoir comment je m’y prendrai pour vivre.
je veux tout et tout de suite
Antigone IUFM
A l’IUFM, jouer et réinventer Antigone.
Pourquoi veux-tu me faire taire ? Parce que tu sais que j’ai raison ? tu crois que je ne lis pas dans tes yeux que tu le sais ?
Tu sais que j’ai raison mais tu ne l’avoueras jamais parce que tu es en train de défendre ton bonheur en ce moment comme un os.