les danses du dimanche matin

14 heures. Les troupes sont au local du Quartier Général, 788 rue du Cénacle, Beauport, Québec. On a prévu une autre série de Porte à Porte cet après-midi. Ce matin trois équipes étaient sur la ville. D’un côté Geneviève, Léa, Maryse, Marie et Daniel sont allés danser chez les gens et dans un commerce, chez le barbier.  Et aussi à côté d’un abri-bus. D’un autre Jérémie et Marie ont parcouru les alentours du centre de Beauport pour glaner des petits films des citoyens en pas de porte, et Martine, Maggie et Guy ont déclamé le carnet de bord de la Veillée (le blog) chez une dame chez qui ils sont restés une grosse partie de la matinée. Avant de partir en équipe nous avons attendu les gens à la sortie de l’église de Courville, en ce dimanche matin. Et nous avons dansé la valse sur le perron de l’église et dans la rue devant l’église.

Dimanche, Beauport, Québec

Tout démarre par l’église et la valse à mille temps, puis le porte à porte. Emmitouflés. On stoppe la journée un peu plus tôt. A 16h. On a changé d’heure. On est passé à l’heure d’hiver. A Québec, ce soir, il fera nuit vers 16h30. Ensuite on ira faire des courses. Les magasins sont ouverts le dimanche, au Québec…

D’aujourd’hui à demain

C’est samedi, on est tous affairés devant nos ordinateurs tandis que les danseuses dansent et re-dansent sur un air de violon. Il fait maintenant totalement nuit. Jérémie travaille sur des photos de souvenirs d’école, Maggie fait le montage d’une vidéo prise cet après-midi, Martine monte l’interview d’un monsieur déguisé en Sombrero, ça la fait rire. Guy marche dans les rues, puis revient les joues rouges, et écrit. Marion envoie des courriels depuis son ordinateur.

Plus tôt dans la journée avec Maggie et Martine, on est allées visiter la maison hantée du centre Girardin. On s’est fait recevoir par « les méchants » des films de Disney. C’est de bonne guerre, on parle tout le temps des gentils!

La journée se termine, on pense déjà à demain qui ne ressemblera pas à aujourd’hui. A la valse qu’on offrira, aux visages que l’on découvrira en porte à portes, aux rencontres, encore et toujours.