à la maison des Glacis

Mercredi 13 juin,  jour des enfants.  A 9h rendez-vous à la maison des Glacis, déjà une hyper activité dans la cuisine une dizaine de bénévoles s’affairent aux fourneaux. Qu’est-ce qu’il se passe ? 75 repas à préparer, c’est le repas de clôture de saison. La maison, comme toutes les maisons de quartier revêt l’habit de centre de loisirs. Les vacances approchent il faut occuper les enfants des quartiers. Pas facile pour les adultes qui passent tant de temps dans les divers ateliers  pour se retrouver, passer le temps, être ensemble dans ce temps qui file pour contourner la solitude et choisir la solidarité, le collectif, le partage.

1968, la maison des glacis est née en 1968, en pleine grève, Colette est arrivée la première avec quelques enfants du quartier qui n’avait à l’époque que le patronage, c’était le moment de créer des activités, c’est Colette qui a lancé les premiers ateliers. 4 ans de bénévolat et puis elle a passé des examens pour être animatrice . Aujourd’hui elle est en retraite mais toujours à la maison de quartier, toujours aussi active, tant qu’elle le pourra.  Quelle force, quelle énergie de toutes ces femmes qui croquent la vie à pleines dents, quoiqu’il arrive, un but passer l’obstacle.

Finalement dans toutes ces maisons de quartier on est comme chez nous. 

L'arrivée

A Mardyck on a demandé aux gens de l’équipe s’ils se souvenaient de leur arrivée à la maison de village. Brigitte raconte qu’elle était dans une grande maison de quartier, mais que l’activité dont elle s’occupait a cessé. Elle savait qu’elle allait prendre un poste ailleurs. Quand elle a rencontré son responsable, elle lui a dit : « je veux bien aller partout sauf à Mardyck ». Il lui a répondu : « bah! c’est justement là que tu vas aller ». Elle est tombée des nues.  Ca va mieux maintenant mais elle avoue qu’elle a mis un peu de temps à s’adapter.

L’arrivée

A Mardyck on a demandé aux gens de l’équipe s’ils se souvenaient de leur arrivée à la maison de village. Brigitte raconte qu’elle était dans une grande maison de quartier, mais que l’activité dont elle s’occupait a cessé. Elle savait qu’elle allait prendre un poste ailleurs. Quand elle a rencontré son responsable, elle lui a dit : « je veux bien aller partout sauf à Mardyck ». Il lui a répondu : « bah! c’est justement là que tu vas aller ». Elle est tombée des nues.  Ca va mieux maintenant mais elle avoue qu’elle a mis un peu de temps à s’adapter.