faut dire

On est arrivé ce matin à Fresnicourt-le-Dolmen. C’est un portrait un peu particulier parce qu’on est en territoire connu. Guy vit par ici. Fresnicourt le Dolmen, Olhain et Rebreuve Ranchicourt. Le dolmen, le château, le parc.
On est installé dans l’école de Verdrel. Il faut dire que Fresnicourt est divisé en plusieurs quartiers, plusieurs lieux dits. Verdrel en est un. Verdrel était une cité de transit, après la guerre, avec des baraquements, parce que le Portel avait été bombardé. Avant cela, à Verdrel il n’y avait que quelques fermes. Puis il y a eu ces baraquements, la cité dite « du Portel », qui s’est transformée peu à peu en village, avec des maisonnettes, et qui est aujourd’hui un village, un hameau, un lieu dit.
Ce matin, on s’est installé dans une salle de classe, on a fait un point planning et on a distribué les interventions. Il y a Romain, qui est toujours en stage à Culture Commune et qui nous suit depuis le début de ces portraits de villages dans la Smob. Il y a Thomas, qui avait suivi le stage du pavé, qui a mis en scène Camarade Divion, et qui fait ce portrait avec nous. Il faut dire qu’il n’y a pas Didier, qui est en voyage en Georgie, parce qu’il faut dire que ce portrait a été organisé au pied levé, suite à l’annulation de celui qu’on devait faire à Beugin-Bajus-la Comté. Il y a Martine, Guy, Jérémie, Maggie et Flora. Il y a bien sûr Olivier, qui n’est pas sur le terrain, mais qui bosse dur au bureau. Iffra arrive demain. On a rencontré Iffra à Guyancourt, pour la veillée. Il est danseur hip hop. Il faut dire qu’Hassan devait venir mais qu’il a été retenu à Avignon. Et puis, en fin de semaine, il y a Jamel qui nous rejoint pour graffer, comme à chacun de ces portraits.