la fiction est bien réelle

Le spectacle se déroule. Les lecteurs assurent, même dans les moment les plus durs, quand dans la salle, ça répond aux images en criant. Les lecteur ne perdent pas leur sang froid et assurent.
C’est un public nombreux et réactif.
A la question qu’est ce que vous changeriez dans votre collège ? un élève du film à répondu : les bousculades, parce que les grands bousculent tout le temps ! Et quand on a projeté le film, il y a un grand dans la salle qui a dit, en regardant le prof qui l’accompagne : eh ! monsieur, c’est pas notre faute ! comme s’il avait été pris en flagrant délit…
Y’a pas à dire, les collégiens s’y reconnaissent. Y’a pas à dire, c’est une fiction qui est bien réelle.
A la fin, Guy demande aux élèves s’ils ont une remarque à faire.
Il y en a un qui dit : Revoir le film !
ça fait chaud au cœur.

jouer, c'est parler

Marivaux, Ionesco, Jarry, Ajar, Harms, Godard, Ils vont ramener d’autres textes. Ils vont regarder ailleurs pour jouer encore avec les élèves. Ils se disent qu’il faut que le spectateur puisse se référer au texte. Qu’il puisse se dire ce grand texte, ça se fait là, simplement, comme ça. Les grands textes de théâtre, c’est parler, c’est ça, c’est parler…
Les profs sont heureux quand les élèves réussissent. Dans bien des cours, ils encouragent les élèves.