Palimpseste

Cette nuit on a rêvé du film Tabou de Miguel Gomes et du  Chantier – tout mélangé.

Dans Tabou, les personnages vivent une tragédie amoureuse en noir et blanc et on n’entend pas les dialogues. Tous les bruits et sons, mais pas les paroles. Et sur ces scènes, une voix-off raconte. Lyrique mais sobre. Et comme hier on a dit chacun son tour comment on avait découvert Angelica Lidell, on se dit qu’on pourrait avoir ces récits dits en direct comme des voix-off, et voir sur le plateau les impros de corps avec les extraits de La maison de la force d’Angelica Liddell.

Comme dans Tabou, deux couches.

Et on pourrait en rajouter une troisième en projetant sur le fond de scène de Quoi, l’éternité ? , des Sublimes et de Base 11/19, les captations vidéo d’improvisations de la semaine.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.