Angelica Liddell dit que parler de l’homme, c’est mettre les mains dans la saleté. Elle dit, ce qui m’intéresse, c’est ma vie profonde. Qu’est ce qui explique ce que nous faisons ? Parfois, on n’a pas envie de le savoir. Comment entrer dans le maison de la force quand on n’est pas Angelica Liddell ? S’emparer du texte comme un matériau comme un autre ? Jusqu’où ? Comment ? Se coltiner cette parole provocante, provocatrice, trash ! La détourner ? Le chantier continue…