A la base, il y a une exposition. COAL. Il y a du monde aussi le week-end. Il y a du passage. Il y a un accordéon, un bandonéon, qui pleure en dansant et des gaillettes qui chantent le bruit du travail. Il y a des chevaux de papier. Il y a un paysage qui se transforme quand on passe. Il y a des sons venus de loin. Il y a des images, des robots, des stries noires charbon. Il y a des histoires de mines en trois langues. Et en plus il fait beau. Et Fred à préparé un apéritif allemand. La semaine dernière c’était polonais. Du coup, dans cette ambiance là, c’est pas vraiment comme travailler le dimanche.