le péril jeune

Ce matin, la quasi totalité de l’équipe était rassemblée en différents endroits du lycée Flaubert. Dans le bâtiment A au 2ème étage, des élèves de première, propulsés par Didier, se donnent dans Godot. Jérémie est dans le couloir et fait le portraits des élèves. Sarah accompagnée par Hassan, Dorothée, Camille et Mourad monte le mât chinois pour la pause de 10 :05. Le ciel est entre le bleu et la grisaille, une lumière idéale pour notre chef opérateur d’exception (Jérémie). La sonnerie retentit (c’est un petit air doux, rien à voir avec la sonnerie stridente que nous avons tous en mémoire). Dorothée et Camille se lancent et des groupes se forment pour les regarder, Hassan et Mourad se lancent dans leur mouvement sonore, toujours un peu plus de monde. Sarah prend le relais et développe un imaginaire doux sur son mât planté au milieu de la cour. Le lycée Flaubert se trouve à 100 mètres à vol d’oiseau de la tombe de l’auteur. Parfois, il doit donner un coup de main, aux élèves, pour une dissertation ou un commentaire de texte, sinon c’est un fainéant

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