Dans un éblouissement

Hier soir, arrivée à la gare de Douai dans un éblouissement de fin de journée. Il y a enfin du soleil ! Guillaume de l’Hippodrome de Douai me conduit à Monchecourt, à 25mn de Douai. Petite visite guidée sans audio guide mais avec chauffeur éclaireur : à  l’entrée du village, la ferme biologique, puis des briques des briques des briques. Sur notre droite, l’école primaire la bien nommée Jacques Prévert, des lotissements,  la bibliothèque qui sera notre QG -sur notre gauche, tournons la tête alouette- la mairie joliment refaite, le PMU ouvert, le Proxi fermé. Petit virage à gauche, gîtes en vue ! « Les trois baudets », gîtes ruraux, avec petits panneaux estampillés gîtes de France, grands portillons, petites portes blanches et sonnette à carillons.

On sonne donc et Valérie François, la propriétaire, nous ouvre… Elle nous montre l’ancienne chèvrerie reconvertie en salle de jeux : les fléchettes ont remplacé les biquettes !  La véranda aux perroquets exotiques, le boulodrome, l’aire de pique-nique, la balançoire violette et les écuries, grandes ouvertes. Les chevaux et poney gambadent et pâturent.  Il y a du soleil. C’est un joli coin de verdure. Derniers rayons d’une avant-avant-veille d’été.

Me voici à la maison, je dépose les affaires.

Demain Maggie, Jérémie, Hervé, GuyDidier et Martine arrivent et nous attaquerons ce Portrait qui s’annonce ensoleillé. Du jardinet j’entends les perroquets chanter.

Pour faire le portrait d’un oiseau…

Jacques Prévert, les oiseaux, Monchecourt, tout un poème en perspective…

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