Aduges – Jour 1

Ce matin rendez-vous dix heures à la maison de quartier Soubise. C’est Chantal qui nous accueille. C’est la nouvelle directrice de  Soubise. Elle succède à Maryvonne. On commence donc aujourd’hui le portrait que l’on va faire pour l’Aduges de Dunkerque pour fêter les 40 ans de la fédération. On va aller à la rencontre des structures qui forment l’Aduges.
Donc Soubise pour commencer. D’un côté Martine et Didier qui sont allés vers les salariés avec la caméra pour récolter des portraits chinois, et de l’autre Jérémie qui filmait des pas de salle.
C’était un peu la folie à Soubise parce qu’a 14h30, il y avait la remise du laurier d’or de la fondation de France. Il y a eu du monde qui a salué le travail des habitants investis dans le changement du hall de la maison de quartier. C’est l’artiste Patrick Carré qui a changé le hall, il a ajouté de la lumière et rendu la façade plus attrayante.
On a  rencontré plusieurs habitués de la maison de quartier. On a fait des portraits citations. Un monsieur a choisi : Si le monde social m’est supportable c’est parce que je peux m’indigner. Il a dit à Didier : moi, j’enlèverais social, Didier a dit Ok on barre, il a sorti son crayon et a barré social. Ça donne : Si le monde m’est supportable c’est parce que je peux m’indigner.
Je lui dis : s’indigner en levant le point ?
Non, l’indignation, c’est là qu’elle se trouve et il montre son coeur.
Ensuite, Camille a dansé au milieu des personnes qui partageaient le verre de l’amitié. Et pendant que Camille dansait Mohamed (qui travaille à la maison de quartier en tant qu’animateur périscolaire) lui passait le plateau de gâteau.
On a proposé à tous de nous donner un mot qui représente leur maison de quartier, et ensuite on leur a demandé d’y associer une position, que l’on pourrait prendre en photo.
On a eu gourmandise, conviviale, vie, idée, solidarité, ensemble, famille, réjouissance, détente, convivialité, nouveauté, convivialité, partage. Et ça représente bien Soubise. C’est ce que l’on a ressenti aussi. On aurait pu rester là pendant quinze jours. C’est comme si on avait toujours été là.

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