fresnicourt rebreuve faire du désir de connaissances l'affect le plus puissant.

Fresnicourt Rebreuve Rebreuve Fresnicourt, comme… ça rappelle une chanson d’Higelin. On a du travail. Tout le monde est là à dix heures à pied d’œuvre. Iffra arrive demain. Il est danseur hip hop de la compagnie black blanc beur. On avait déjà travaillé avec Iffra à Guyancourt en 2009. Pour la Ferme de Bel Ebat. On est ravi de faire ce Portrait de Village avec lui. Et Thomas Pasiecki. Et bien sûr tous les Hvdziens. La Smob (le chapiteau) devrait arriver d’un moment à l’autre à Verdrel (hameau de Fresnicourt), sur le stade de foot. Notre Q.G est à l’école primaire. On a un texte à faire pour Culture Commune dans leur plaquette de saison, pour hier (comme on dit souvent, c’est pour dire que c’est urgent). Je pense qu’on peut puiser dans ce blog ou sur le site d’Artfactories ou nos dossiers de conventionnement à la Drac. Ou ce que disait B. Stiegler dans la revue la Scène de ce qu’on fait ici et ailleurs. Ou ce qui est paru dans le dernier numéro de cette même revue sur la démocratie culturelle.  Comme on le disait précédemment, ça vaudrait le coup de réfléchir sur ce qui fait notre désir, notre volonté de rester à la marge, à la frange de l’institutionnel. Avoir choisi une voie très particulière qu’on s’est inventé nous mêmes en dehors des formes établies. Je suis sûr que c’est plus profond qu’il n’y paraît. On ne peut pas le caricaturer par la seule volonté d’une hypothétique liberté; ça a plus à voir et à faire avec la marge et la marginalité. Et l’interstice. Faudrait lire Auguste Blanqui.  Et Gilles Deleuze. Fresnicourt Rebreuve. Rebreuve Ranchicourt Fresnicourt.

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