les quatre-vingt quatre fraises

A l’école primaire de Ruitz ce matin, Jamel a tendu du cellophane entre deux arbres et quand les enfants sont sortis pour la récré, un graff fleuri était en train d’apparaître, comme s’il volait entre deux arbres. Les enfants applaudissaient quand Jamel sortait une nouvelle couleur, ou quand il faisait une belle courbe.
Ohhhh, aaahhh.
J’aimerai trop avoir le même dans ma chambre, mais en plus petit.
En voyant la fleur qui se dessinait, une petite fille a raconté à Flora, par association d’idée, qu’elle aurait bientôt chez elle quatre-vingt quatre fraises, parce qu’elle avait compté les fleurs de ses fraisiers.

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