memento mori

On va voir Manu aujourd’hui. Revenir sur l’histoire du Ballatum et d’ Hvdz. Pour son mémoire. On s’était vu déjà la semaine dernière. On s’était installé dans la salle 1. C’était la salle Hvdz au début de notre résidence à Culture Commune. C’est là qu’on avait fait le travail avec les anciens mineurs et Colette… C’était la première fois qu’on travaillait sur la mémoire ouvrière. Il faut aussi qu’on finisse le bilan d’activités de ces trois dernières années qu’on doit donner à la Drac pour le renouvellement de la convention. On a donné les projets mais pas le bilan. Il faut que l’inspectrice ait le temps de tout lire avant notre rendez vous au mois de mai. Et finir de préparer Maisnil et nos interventions dans les centres de formation des apprentis. On a décidé qu’ avec les apprentis, on ferait des ateliers d’écriture ( en plus de tout le reste). On n’a toujours pas pris de décision pour Méricourt. Si on ne devait pas y aller, il ne faut tarder à le leur dire. Pour qu’ils aient le temps de trouver d’autres collaborateurs. J’avais mis en lieu et place de cet article un texte de Hegel sur la beauté qui se terminait ainsi: le pays des ombres est celui de l’idéal, celui des esprits, morts à la vie dans l’immédiat, affranchis des médiocres besoins dont est faite l’existence naturelle… libérés de toutes les perversions et déformations inséparables de la finitude du monde des phénomènes. Je l’ai enlevé. Je ne voyais pas du tout pourquoi j’avais recopié ça.  Ce que ça foutait là. Comme si ça avait été plus fort que moi. Qu’il fallait que je l’écrive pour être sûr de ne pas le laisser là. Nunc est bibendum. Nunc pede libero pulsanda tellus.

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