on a appris le portugais

Jusqu’où aller trop loin. On s’est demandé ce que sur le blog on pouvait dire ou ne pas dire de la vie de la compagnie. Avant de faire une réunion sur nos interventions dans les centres de formation des apprentis. Au début on pensait que ce serait bien de tenir une chronique régulière sur Facebook comme Christophe Huysman et puis on a opté pour le blog de la compagnie. On voulait que ce soit au jour le jour. Un prolongement de nos Veillées, Portraits, Instantanés… Une réflexion continue. Doutes, incertitudes, besoins, envies. On en a un peu parlé. Les avis sont partagés. Est ce qu’on en dit trop? Qu’est ce qu’on dit en trop? Et est ce que ça vaut le coup de tenir ce blog sur la vie de la compagnie et autres? C’est difficile… de savoir. C’est le risque. Faire. Dire. Faire dire. L’ouvrir. On a toujours pensé qu’il fallait tenter le coup et puis on voit si ça tient la route ou pas. Mais c’est compliqué. On a avancé comme ça. En allant vers ce qu’on ne savait pas. En prenant des idées par ci par là. On a considéré nos actions comme des terrains d’expérience, en entamant plein de chantiers. La semaine dernière au Grand Bleu, on a repris et adapté des techniques comme les rêves dansants, les portraits et les mots… On a appris le portugais, on a fait des stages d’éducation populaire, on s’est formé à la technique de la prise de son. On va prendre un cours d’économie marxiste. On a fait un journal. Apprendre. Faire. Et faire faire. Et raconter. Quand est ce qu’on en dit trop?

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