Deuxième jour de la deuxième partie de la Veillée avant la Veillée

« Je me souviens chez Doussette, à l’époque chez le marchand de cycles, il mettait des hauts parleurs devant chez eux, à la sortie des Chantiers pour que les ouvriers puissent écouter le Tour de France. »

« Je me souviens le France, le bateau, c’était un évènement formidable. Y a toujours plein de monde quand les bateaux partent.  Pour les ouvriers c’est une fierté. Je me souviens d’un gamin dont le père avait travaillé sur le France et qui disait au revoir au bateau, comme si c’était  le bateau de son père. »

Deuxième jour de la deuxième partie de la Veillée de Méan Penhoët. La Veillée a lieu mardi et on arrête les tournages samedi. Donc on concentre les rendez vous ce jeudi et vendredi. Et les acrobates, les danseurs nous rejoignent ce week end. Fred arrive vendredi soir. Hassan arrive samedi matin. Dorothée, Mathilde et Guillaume arrivent samedi soir. Frantz et Sandrine seront là aussi dès dimanche pour la technique, le plateau des Veillées et la communication. On n’est pas aussi nombreux que sur Base 11/19 mais c’est tout de même un joli groupe. Ce matin Martine est allée interviewer un syndicaliste de l’autre côté de la passerelle. Flora et Didier sont au CATTP. Nous irons ce midi au collège St Louis pour une rencontre avec des lycéens qui ont vu Base 11/19. Jérémie et Didier ont fait hier soir un travelling dans Méan Penhoët. Jusqu’au pont de St Nazaire.

Il a dit « Il neige! ». Alors tout le monde a regardé par la fenêtre… mais c’était faux.

0 réflexion au sujet de « Deuxième jour de la deuxième partie de la Veillée avant la Veillée »

  1. Bonjour à tous,
    C’est vraiment chouette de découvrir la suite des aventures d’HVDZ à Méan-Penhoët.
    Je viens vous voir demain midi.
    Bises
    Clémence

  2. Fresnicourt le Dolmen (où il tempête depuis des jours, et là bas?).
    Bonjour à toute l’équipe HVDZ,du Fanal et aux habitants de Méan penhoët.
    Si j’avais su avant que vous partiez qu’il y avait encore un vrai cordonnier à Saint-Nazaire, je vous aurais donné mes 4 paires de chaussures qui attendent dans le coffre de ma voiture d’être réparées depuis 3 mois. Il ny a plus de vrais cordonniers dans le secteur. le dernier, à Hersin-Coupigny (62) a pris sa retraite l’an dernier et n’a trouvé personne à qui transmettre son métier. Nous sommes aujourd’hui condamnés à acheter des chaussures jetables. Une pratique imposée aux antipodes d’une démarche de développement durable!
    Mais encore, merci de partager, par ce blog, vos rencontres avec la population (si attachante) de Méan Penhoët. Ce sera sans aucun doute une belle veillée. Chantal, de tout coeur avec vous.

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