Rencontre avec Hélène et Philippe au resto U Rubis. Hélène est arrivée en courant, elle court, elle parle en marchant, elle rit. On se dit qu’elle est incroyablement dynamique. Elle dit, moi j’ai besoin de faire des choses, d’être en action, tout le temps. Faut au moins une sortie par mois, théâtre ou ciné, sinon j’explose. Avant d’être maman, quand elle avait du temps, elle apprenait les langues étrangères. Elle n’a pas fait d’étude, juste un CAP dit-elle, mais c’est pas une raison. Elle a appris l’anglais et l’espagnol pour pouvoir parler avec tout le monde, le monde entier. Ça lui permet de rencontrer les étudiants étrangers, et d’avoir un rapport un peu privilégié avec eux.
Philippe, lui, est cuisinier. Il a aussi sympathisé avec bon nombre d’étudiants, et notamment avec une association qui accompagne les étudiants handicapés. Il habite dans les quartiers nord, à la Bourgeonnière, à deux pas du boulot. Tous les deux disent que le gros avantage du boulot, c’est les vacances. Il font des grosses semaines, mais ils ont, en échange, de grosses vacances. Et puis l’autre avantage, c’est la bonne ambiance dans l’équipe du RU Rubis. On demande si le chef cuistot est sympa et tous les deux, très spontanément, s’écrient Oh oui ! et Hélène ajoute en criant, Luc, on t’aime… !
Salut
Félicitations pour vos veillées; c’est du sacré boulot.On se voit le 20 à 19h.
Bonne continuation.
Ami(e)-calmant
Hélène