Mardi fin de journée, première semaine

Il faut choisir entre se reposer et être libre.

Une belle et bonne journée bien chargée qui se termine. On a pris du retard si bien qu’on n’a pas pu aller au spectacle au Fanal. On avait pourtant promis. On ira demain. Nos actions du jour nous ont emmenés trop loin dans la journée et pour le spectacle on est resté à quai. On a commencé par une grande et très intéressante discussion avec Georges qui dirige la maison de quartier. Pour nous faire une idée un peu plus prècise de l’endroit où on est. Puis on a tapé le texte de nos notes(de la discusion) qu’on a affichées dans notre local. Et puis on s’est éparpillé dans le quartier. Repas au St Denis. Se sont ensuite enchaînés les rendez vous. En prévision  d’atelier pour le mois de décembre. Et des interviews au café. On a terminé chez des gens très accueillants qui habitent le quartier avec qui on a parlé d’engagement, de vie au quartier, de travail, de la valeur du travail. De mobilisation. De combat. De fierté. De travail et de fierté. Du moment où on a du travail est on amené à être fier de tout ce qu’on fait? 

Repas à la maison de quartier. On a organisé notre intervention de demain sur le marché. On s’est réparti les tâches. On va faire une action citation sur le pavé de Méan Penhoët.

On a appris que l’église du quartier n’avait pas de clocher. Il y en avait un au sol, en bois mais il a brûlé. 

0 réflexion au sujet de « Mardi fin de journée, première semaine »

  1. Bonjour,
    j’ai retrouvé des docs (affiche et tracts) sur cette question de la fierté qu’on avait sorti en 2003. Ne parvenant pas à les envoyer en pièce jointe, je passerais vous les déposer au Chantilly à l’occasion.
    A moins que vous ne repassiez.
    Amitiés
    Philippe

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