C’est dans l’amour de l’autre que je pourrai me trouver

Une semaine de résidence à Béthune, comme prévue, a eu lieu la semaine dernière. Jour après jour avec les un.e.s et les autres, on a creusé le sillon. En musique, en vidéo, en danse. On a lu et relu No Border de N. Prugnard ; en particulier lors de la sortie de résidence programmée jeudi dernier. On a monté un petit spectacle (de 40 minutes, tout de même) en trois jours. On a trouvé, en travaillant avec acharnement tout le temps de la résidence, comment au milieu de propositions diverses par le biais d’autre média, on arrivera à donner relief et rythme au spectacle final. Bien sûr, le texte n’en restera pas moins la colonne vertébrale  de cette création multiple. On a passé une bonne semaine. Comme une fête des sons, des mots, des images et de la danse. Une semaine comme on vivrait un rendez vous rituel. Les mystères d’Eleusis à Béthune. Deux de nos camarades au quotidien ont été invités à participer à la transe. Avec elles, le corps, le mouvement de la répétition (dans les deux définitions du mot) ont dévoilé toute leur raison d’être.

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