On bosse comme des tarés. On a une saison avec des spectacles qui tournent, d’autres qui se fabriquent. De la danse, de la musique, du texte, de la vidéo. De l’action culturelle dans les écoles, les CADA, les universités. Des sessions pour tous les publics et des sessions scolaires. Des formations à Bruxelles. On nous propose des petites formes de nos spectacles de plateau qui ne s’adapteraient pas aux lieux exigüs. Des Veillées. Bref, on n’en a jamais fait autant. La somme de taf que tout cela représente en terme de préparation, d’organisation est énorme. Parce que d’abord, ils s’agit de femmes et d’hommes à qui il faut offrir des conditions de travail qui rendent la vie agréable et propice à la recherche, à la rencontre, à l’échange. Plus on est nombreux, plus c’est complexe. Plus il y a de spectacles et plus c’est difficile de ne rien oublier. Dans nos bureaux, à la technique, à la logistique, on est au top de l’engagement. On ne ménage pas ses efforts pour que ça tourne. Et franchement, chapeau bas !