Des chiens au quatre coins de la scène. Ça faisait peur. C’était dangereux, surtout pour les danseurs. Mais c’est resté dans ma mémoire. Des grands bergers allemands avec des longs poils. Ils étaient tenus par des maîtres chiens. Ils n’étaient pas là durant tout le spectacle mais je me souviens qu’ils étaient présents quand on entrait dans la salle. C’était hyper impressionnant. Ça avait du sens. Ça en a toujours. Les aboiements continuent de résonner dans ma tête. Ces bêtes étaient magnifiques. Elles portaient le spectacle au pinacle de sa démesure et de sa poésie tragique.