Les choses se révèlent parfois plus difficiles à réaliser que ce que l’on avait imaginé.

Pourtant on y allait la fleur au fusil. On savait qu’après tout ce qu’on avait traversé, on était armé pour attaquer une nouvelle phase du projet. Et que tout ça demanderait encore beaucoup de travail mais que ça se ferait sans trop de dommages. Et voilà que le ciel nous tombe sur la tête. On aurait suivi des chemins en impasse. A la fin, dit Dominique, on se retrouve impuissant. On ne sait plus comment t’aider. J’ai rien demandé. On est tous différents et on se démerde comme on peut, pour venir au bout de ses emmerdes, des ses angoisses. » Qu’est ce que j’y peux, si tout le monde débande et moi avec ? On dirait que la vie, c’est fait pour les poteaux.  » On lâchera rien, on y reviendra sur No Border. C’est pas une pauvre semaine à l’Avant-Scène de Dunkerque (même si la salle est sublime) qui va nous arrêter parce que, au résultat, on s’est cassé les dents, et rongé les sangs parce qu’on a créé plus de frustrations que trouvé des solutions. On le regrette, c’est sûr, on ira pas dire le contraire. A vrai dire, à la fin, on se sent comme l’idiot (à pleurer) chez Dostoievski.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.