Dunkerque, quartier de la gare, hôtel B and B

Dunkerque nous ouvre les bras, pour une semaine. On travaille jusqu’à vendredi en fin d’après-midi. Pendant trois ou quatre ans au début des années 2O10, on  allait y travailler un mois sur deux. A l’époque où le théâtre était en reconstruction, l’équipe du théâtre avait décidé de décentraliser ses actions artistiques partout sur le territoire du dunkerquois jusque dans la Flandre profonde. Nous avions multiplié les interventions dans les écoles, les villages, les quartiers… Nous avions rencontré un monde fou, de Grand Fort Philippe à Rexpoade. Nous y revenons dès ce soir (on a eu bien du mal à trouver à se loger) pour cinq jours pour une résidence de recherche, accueillis par la scène nationale du Bateau Feu.  Avant le départ en fin d’année de sa directrice pour d’autres horizons puisqu’elle quitte le théâtre pour un autre travail, un autre monde. Sereinement.

Par ailleurs, on commence à manquer de moyens bien qu’on ait énormément travaillé ces dernières saisons. L’avenir proche se complexifie. Mais on ne lâche rien. L’avenir dure longtemps et on n’est jamais à l’abri d’une belle surprise.

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