Capdenac, du lever du soleil jusqu’à la brume du lendemain

Les jours se suivent et ne se ressemblent pas. On se retrouve tôt ce matin au Q.G. Béné s’est rendue vers sept heures sur la colline de Capdenac le haut, pour filmer Capdenac Gare dans la brume et le soleil qui se lève au loin dans les monts de l’Aveyron . Le brouillard se dissipe , le village se réchauffe, Marie et Mourad rejoignent le reste de la troupe. Chacun derrière son ordinateur monte les images du film-spectacle ou raconte sur le blog sa soirée de la veille.

Hier, Béné, Lucien, Mourad et Marie sont allés au café le Paris, le seul café de Capdenac qui reste ouvert fort tard le soir. Ils-elles y ont retrouvé des gens rencontrés en porte à porte. C’est chez Albin qu’ils-elles ont terminé la discussion entamée au Café de Paris. Nous avions filmé Albin devant sa maison, dont le côté (celui qui donne sur la rue) est couvert d’une magnifique fresque inspirée de Klimt, et de Petit Pierre, un artiste qui fait de l’art brut dont on a pu apprécier  les œuvres dans un beau livre qui lui est pleinement consacré.

Marie, Mourad et Angélique sont partis danser dans les commerces de la ville. Martine et Lucien se sont rendus à « Échange et Partage » mais les gens n’étaient pas au courant de leur venue. Ils-elles sont rentré-e-s brocouilles bredouilles, enfin pas tout à fait, puisque Lucien s’est vu offrir une chemise en jean qui lui va comme un gant. Dans la nuit Albin a offert un tableau, une peinture, à Mourad.

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