Les chanteurs fous en répétition

Les chanteurs fous (Marie, Lucien et Mourad) sont bientôt de retour. A 14h, ils.elles étaient au bord de la gare, à l’abri des oreilles et des regards, pour répéter les « chansons-traditions » mais aussi un nouveau répertoire. Soit d’un côté Mistral Gagnant de Renaud et Allez Allez Allez de Camille, mais aussi de l’autre : Le temps de l’amour de Françoise Hardy, Le courage des oiseaux de Dominique A et Cigarette Duet de Princesse Chelsea. Les représentations ne commenceront que mercredi, mais au vu des piteuses performances de ces premiers essais, le temps ne sera pas trop long avant de pouvoir présenter quelque chose de, disons…, convenable !

Les mêmes se sont ensuite mis à arpenter les rues à la recherche de volontaires pour apprendre des citations et les réciter face caméra ou pour jouer au portrait-chinois. Mais, ici encore, tout n’était pas tout à fait une réussite. Des joueurs de pétanque nous ont dit que pour eux vraiment le théâtre de rue c’est n’importe quoi, alors nous avons rétorqué que ce serait en salle, ils ont trouvé ça moins pire mais n’ont pas souhaité participer pour autant. Un monsieur, au fond d’un garage dans lequel attendaient patiemment des chars en papier crépon de parade (telle une très belle Hello Kitty), a pour sa part complètement jouer le jeu : ils nous a même fait don d’une petite chanson paillarde écrite par son ami et mis en musique par lui : Raoul. Rien que pour entendre les jolies et vulgaires paroles de cette chanson, nous vous conseillons de venir voir le film.

Et puis nous avons frappé à de nombreuses portes de maisons qui semblaient toutes abandonnées dans la rue des commerces. On apprend peu de temps plus tard qu’il y a 100 maisons à vendre sur Capdenac-Gare (avis aux intéressé.e.s !). Au loin on aperçoit Michelle qui nous fait à manger avec l’équipe à chaque repas, on la rejoint, elle part, mais nous laisse avec Jean-Jacques, sacré personnage portraituré plus haut.

Pendant tout ce temps, Martine monte et monte encore, elle a les yeux un peu rouge mais n’a plus aucun retard. La pause s’impose.

Guy et Bénédicte avaient rendez-vous au club de Scrabble, dans la rue et avec la dame qui enseigne le piano. Ils.elles ne sont pas encore de retour. Mais je suis sûr.e que très vite ils vous donneront à leur tour de leur nouvelles !

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