Nous avons terminé la soirée épuisé.e.s hier soir, gavé.e.s d’endives au gratin et d’éclair au chocolat.
Au lit très tôt donc, mais pour Lucien avec un réveil à 23h20 pour aller chercher Mourad à la gare 20 minutes plus tard. Emerger s’avère ardu, mais il ne faut pas refermer les yeux sinon c’est foutu. Mission accomplie, Mourad arrive presque à l’heure après être passé par Avignon, Paris et Brive-la-Gaillarde.
Ce matin, nous avons essuyé deux petits échecs : la professeure de piano ne savait pas que nous venions lui rendre visite (on y retourne en principe lundi) et le professeur d’aïkido nous attendait demain (c’est surement de notre faute, mais en fait on ne se souvient plus vraiment, des fois on se mélange les pinceaux dans nos prévisions, on y retourne donc demain).
Puis nous sommes allés faire nos protocoles du marché : les portraits-citations et la valse. Les personnes présentes sont très curieuses, très facile à convaincre de participer au film. On sent que Derrière le Hublot a déjà beaucoup travaillé par ici, et que l’on a pris l’habitude de se faire filmer, de jouer au jeu. Il fait beau, les vestes tombent, les corps virevoltent. La nuit de sommeil porte ces fruits, nous voilà ravi.e.s.
Ouf! On commençait à se demander s’il était vraiment arrivé!
Si tu es rassurée, nous aussi…