Trois autres poèmes de Serge Szczepanski

Géraldine,

Pourquoi a-t-il fallu

Que ton regard me foudroie

Moi qui était là dans le brouillard

Ta façon d’être si belle

J’aurais bien voulu croire que tu étais un mirage, une apparition de mes rêves

Mais non, tu es bien réelle

Et tes yeux si profonds et clairs

Ta taille fine et élancée

Ton visage souriant, illuminant ceux qui prenaient le temps d’effleurer ton sourire magique

Toi qui est splendide

Rien que de penser à ton allure

Je me brûle de mille feux

Tu es mon arc-en-ciel

Qui m’aide à franchir sur ce pont, les directions à prendre……

Toi si tendre

Tu es toujours là

Tout prêt de moi

Paralysé de toi

J’ose dans un dernier effort

Te déposer à l’infini

Une éternité de baisers langoureux et enflammés

Pour toi sublime, divine, jolie, délicieuse, gentille, et joliment belle

Ton amoureux transit qui a eu la chance de plonger par tes yeux dans ton cœur

Tu as tout de moi, toi mon coup de foudre

Scintillante comme un trésor, je t’adore et t’aime, toi, toi, toi, toi, toi, toi, toi…

 

 

Soleil,

Enfin tu te décides, tu arrives,

et a décidé de nous réchauffer,

De tes rayons flamboyants,

Du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest des rives,

Vraiment du matin au soir tu nous aura enflammé,

D’un énorme et chaud soleil brûlant,

Nous apportant ton splendide sourire,

Chassant les idées tristes et malheureuses,

Les envoyant loin de nous jusqu’au néant,

Et nous t’offrons nos mercis par de grands éclats de rire,

Et espérons que les jours futurs seront comme cette journée exquise et chaleureuse,

Toi qui a été cette journée, pour nous, tel un ami, immensément rayonnant.

 

 

Rêveries,

Voici que ma plume s’envole vers toi,

Pour te dire ces tendres mots là,

Qui espèrent entendre toujours et encore que le son de ta douce voix,

Ne jamais me lasser de regarder d’admirer ta silhouette de haut en bas

Et quand ton cœur aura froid

Le mien bouillant pour toi

Fera voler en mille éclats

La glace qui te paralysera

En te serrant tout contre moi,

Dans mes puissants bras

Qui ne sont faits que pour toi

Et dans un ultime émoi

Mes baisers par millier se poseront sur toi

Sans commencer le débat

Et prolonger nos ébats

Autant de fois que tu le désireras.

 

 

Carline

Etudiante infirmière,

Qui me piquait sans jamais mal me faire,

Sans oublier cette prise de sang,

Que vous m’avez faite avec talent,

Vous qui hésitiez,

Me demandant si j’vais des veines,

Eh bien vous avez assuré,

Et mes veines ont eu de la veine,

De se laisser piquer,

Car du premier coup,

Vous avez assuré,

Bravo à vous,

Que la suite de votre parcours,

Soit semé de réussite,

Et que jour après jour,

Vous atteigniez, car vous le méritez : l’Elite !

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