Géraldine,
Pourquoi a-t-il fallu
Que ton regard me foudroie
Moi qui était là dans le brouillard
Ta façon d’être si belle
J’aurais bien voulu croire que tu étais un mirage, une apparition de mes rêves
Mais non, tu es bien réelle
Et tes yeux si profonds et clairs
Ta taille fine et élancée
Ton visage souriant, illuminant ceux qui prenaient le temps d’effleurer ton sourire magique
Toi qui est splendide
Rien que de penser à ton allure
Je me brûle de mille feux
Tu es mon arc-en-ciel
Qui m’aide à franchir sur ce pont, les directions à prendre……
Toi si tendre
Tu es toujours là
Tout prêt de moi
Paralysé de toi
J’ose dans un dernier effort
Te déposer à l’infini
Une éternité de baisers langoureux et enflammés
Pour toi sublime, divine, jolie, délicieuse, gentille, et joliment belle
Ton amoureux transit qui a eu la chance de plonger par tes yeux dans ton cœur
Tu as tout de moi, toi mon coup de foudre
Scintillante comme un trésor, je t’adore et t’aime, toi, toi, toi, toi, toi, toi, toi…
Soleil,
Enfin tu te décides, tu arrives,
et a décidé de nous réchauffer,
De tes rayons flamboyants,
Du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest des rives,
Vraiment du matin au soir tu nous aura enflammé,
D’un énorme et chaud soleil brûlant,
Nous apportant ton splendide sourire,
Chassant les idées tristes et malheureuses,
Les envoyant loin de nous jusqu’au néant,
Et nous t’offrons nos mercis par de grands éclats de rire,
Et espérons que les jours futurs seront comme cette journée exquise et chaleureuse,
Toi qui a été cette journée, pour nous, tel un ami, immensément rayonnant.
Rêveries,
Voici que ma plume s’envole vers toi,
Pour te dire ces tendres mots là,
Qui espèrent entendre toujours et encore que le son de ta douce voix,
Ne jamais me lasser de regarder d’admirer ta silhouette de haut en bas
Et quand ton cœur aura froid
Le mien bouillant pour toi
Fera voler en mille éclats
La glace qui te paralysera
En te serrant tout contre moi,
Dans mes puissants bras
Qui ne sont faits que pour toi
Et dans un ultime émoi
Mes baisers par millier se poseront sur toi
Sans commencer le débat
Et prolonger nos ébats
Autant de fois que tu le désireras.
Carline
Etudiante infirmière,
Qui me piquait sans jamais mal me faire,
Sans oublier cette prise de sang,
Que vous m’avez faite avec talent,
Vous qui hésitiez,
Me demandant si j’vais des veines,
Eh bien vous avez assuré,
Et mes veines ont eu de la veine,
De se laisser piquer,
Car du premier coup,
Vous avez assuré,
Bravo à vous,
Que la suite de votre parcours,
Soit semé de réussite,
Et que jour après jour,
Vous atteigniez, car vous le méritez : l’Elite !