La lutte des classes

On continue le chemin. Quelques journées à l’université ! Qu’est ce qu’on y a fait ? Parler, parler beaucoup. De culture légitime et de culture populaire. On a parlé longuement du travail qu’on mène en ce moment à Wattrelos avec les ouvriers-ères de la Redoute.
On a expliqué tout le processus qui nous a amenés à faire ce spectacle avec Les Redoutables, dans cette entreprise en crise. Qui se soucie de l’humain comme d’une guigne ! Qui s’en fout des gens, quoi ! Tout ce qui compte, c’est les sous et surtout ceux que les patrons, les actionnaires et les banques se mettront dans les fouilles, au détriment des ouvriers-ères et des plus mal payés, serviables et corvéables à merci ! Un cas classique, devenu bien trop classique ! Ce qui fait que les conflits se durcissent à nouveau très fort et que les rapports de classes s’aiguisent ! Les communistes reviendront bientôt et on remettra les pendules à l’heure. On partagera équitablement le travail et les richesses. On ne parlera plus de croissance économique mais de bien être, d’aimer la vie.
Prendre du plaisir au travail. Cesser les souffrances au travail, les surmenages, les burn-out, les suicides, les ségrégations, et casser les hiérarchies. Il n’existe aucune hiérarchie positive.

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