herbstlicher sonntagsmorgen

Un jour après l’autre. On verra bien. Inch Allah! Arrivera ce qui arrivera. Ce qui compte c’est ce qu’on cherche au fond de soi. L’autre, c’est à dire l’universel. On a tous en soi ce qui fait le monde entier. Amor fati. Aimer son destin. Ce contre quoi on ne peut rien. The world is a stage. Y être indifférent (une façon d’accepter et par delà, d’aimer).  Dans la pensée, rechercher la vérité, éviter le mensonge au maximum même si on doit mentir parfois pour ne pas faire mal. Pour protéger l’autre , se protéger aussi, d’une autre manière (prendre soin). Dans l’assentiment, comme il est dit plus haut, être indifférent quand on n’y peut rien. Dans l’action, travailler pour le bien de tous. Ne pas être égoïste. Ça ne sert à rien d’être tout le temps dans l’angoisse, de mener sa vie la peur au ventre, dans l’attente de ce qui pourrait arriver.

Laisse venir. De toute manière, tu n’y peux rien. Alors aime ça. L’herbe folle qui pousse à travers le bitume, accepte là, puisque c’est là et puis c’est tout. La force de vie. Aimer. Der Wille zur Macht. C’est rien d’autre que ça.

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