On a quitté le CNAC . On finit la première session. On a donc refait Les Sublimes. Avec dix-huit interprètes cette fois, au lieu de 11 à l’origine. On a présenté le travail à une dizaine de personnes de l’école. Les gens nous ont dit qu’on devrait rester là, sous le chapiteau, avec les lumières blanches et garder le spectacle dans cette forme brute. Sans aucun effet. En utilisant tout le chapiteau. Qu’on voit les coulisses, qu’on les voit se préparer. Parce que ça va dans le sens du spectacle, de la solidarité, et de la fraternité. Parce qu’on voit l’équipe se soutenir et s’encourager.