Everybody to Roubaix

On est allé l’autre jour à Paris, à Pantin, aux Tréteaux de France et aujourd’hui nous étions à Roubaix, à la Condition publique, vaste lieu culturel qui existe depuis environ vingt ans. L’idée est d’y organiser une festival de culture ouvrière féminine. Donc on y travaille sans compter. Cela aurait lieu en avril 2018. Tout reste à faire mais nous sommes sur le bonne voie. Ce matin, on a longuement parlé avec Hélène, Marie, Marie, Emilie et le patron de la Condition. Nos amis de Travail et Culture étaient absents. Il-elle ont dû oublier le rendez-vous. Après la réunion, on a fait la visite du lieu. Chaque fois qu’on va à la Condition, on visite le lieu. C’est une friche industrielle grandiose, retapée par le grand architecte Bouchin qu’on va retrouver à Étampes puisqu’il réhabilite un pavillon désaffecté de l’hôpital d’Étampes (on y fait un Portrait en plusieurs étapes en 2017). Chaque jour amène son nouveau lot de surprises. Et c’est tant mieux. On a croisé Simon, à la Condition. Simon travaille régulièrement avec nous, il est sondier et technicien-magicien. Simon est en formation son et musique contemporaine à Roubaix. A la Condition Publique, se prépare, pour le week end à venir, une fête de musique technique. On y attend pendant trois jours des milliers de personnes. Marie connaît des gens qui ont réservé des places. C’est de la transe-musique. Tout se rejoint. Toutes les époques ont inventé leurs rituels. Mais au fond, on revient toujours au même. Se dépasser, devenir ce qu’on est.

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