Partout dans Paris , on ressent le métro qui passe

Jour après jour, on cherche, on met les étudiants en jeu. On invente des sujets d’impros à partir d’un page de notes, d’un texte, de prises de son dans la Jungle de Calais. Ou encore de photos. On leur demande d’écrire. D’écrire vite. Et de dire de mille manières leurs propres textes.

On a revu des gens ce soir qu’on n’ avait pas croisés depuis plus de 30 ans, on a évoqué un temps ancien où on ne se souciait pas trop de trouver du travail ou pas. Alors qu’aujourd’hui, c’est complètement différent. Si c’était aujourd’hui, on aurait fait des choix complètement différents. On n’aurait pas été acteur, ce serait beaucoup trop risqué. A l’époque, tout semblait tellement possible à tout le monde, si on en éprouvait le désir.

On a longuement parlé aussi de l’EPSM. De planche à voile, de requins, de larmes et de clic clac. Et raconté des anecdotes. On a ri, beaucoup.

 

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