Ce matin, nous avons retrouvé Sandy et Paulo dans leur brasserie, juste à côté du 11/19.
Déjà un an s’est écoulé depuis notre dernière rencontre. Selon Paulo, rien n’a changé. Il épluche toujours ses 5 kilos de patates pour les frites fraîches. Saudade encore, mais pourtant il nous parle de sa nouvelle clientèle. Les joies d’une certaine complicité qu’il entretient avec elle.
Nous partageons un café. Il nous montre les rénovations apportées à la brasserie. Il a fait les travaux lui-même, de ses propres mains.