Demain le Louvre Lens à 17h pour La Brique. Y a un bus qui vient de Oignies. On a revu le texte aujourd’hui. J’ai remarqué que quand je disais le soir le texte dans mon lit, ça m’endormait. Pourvu que ça ne m’arrive jamais sur le plateau. Journée difficile après celle passée à Calais. Après le rendez vous avec Nadège et Anne pour parler des recherches et du travail de Nadège qui est en résidence (jusque dimanche à Calais), je suis allé dans la ville, marcher. J’ai pris un coup sur la cafetière. Désemparé. Abruti. Combattif mais submergé par le « à quoi bon ? ». Terrain d’une sévère bagarre de neurones à coup d’arcs électriques.