Allez ! Allez ! Allez !

C’est reparti. L’organisation, les tournées, les résidences, les stages, les Veillées… Pourtant si j’ai bien lu ce que j’ai lu ces derniers temps, tout est grundlos (sans fondement). Grundlos, la conscience. Grundlos, la volonté (ou le vouloir). Y a que la musique qui compterait. La musique, l’art en général (et le sport ?), ce serait comme une leçon de vie, une joie de vivre… Faut y croire ! C’est ce qui compte. C’est comme tout le reste. Sinon, effectivement, tout est grundlos. Et comme dirait Camus, pire que le désespoir, c’est l’habitude du désespoir ! On est comme une équipe sportive (je veux dire soi-même ) qu’il s’agirait de motiver en permanence. On lâche rien. On va de l’avant. On y croit. C’est pas parce que ceci ou cela qu’on est moins je ne sais quoi. On s’en convainc, on n’est pas des grundlos. Imagine un peu, t’ arrives sur un terrain de foot, avec ton équipe, qui s’appelle les grundlos,  peu de chance que tu marques des buts ! Grundlos, non seulement, c’est sans fondement et en plus sans finalité. Donc t’es devant le but (la finalité), tu fais exprès de tirer à côté. Ou t’attends que le goal revienne pour lui mettre le ballon dans les mains. C’est pas du jeu.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.