le chapelet de sourires / uma sucessão de sorrisos

Passeando, ontem a tarde, com a Cida, na Ilha, encontramos em um monte de gente. A Cida conhece muita gente e conhece cada ruazinha e cada canto. Nós, seguimos de surpresa em surpresa. Elas são tão bonitas essas ruazinhas, e a praça que parece uma praça italiana, onde as crianças brincam, e a ruazinha em zigue-zague onde uma menininha nos leva para fazermos seu retrato, um zigue-zague que termina alto acima do rio, de onde vemos São Bernardo todo.
Fazemos um círculo da ponte até a ponte. Subimos a rua do cyber café. Rua que segue o aeroporto com seu muro pintado e furado. A praça italiana. As ruazinhas. O rio. O campo de futebol. O rio com o outro campo de futebol bem na frente. A ponte.
Em todos esses encontros, em cada etapa. Este senhor que propõe espontâneamente de nos abrir sua casa, para filmar da sua varanda. A senhora que faz o retrato para sua irmã chega e nos leva para outro lugar, em direção à passarela, uma sucessão de sorrisos, passamos de um ao outro com, em todos os lugares, uma recepção curiosa e carinhosa.

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En se promenant, hier après-midi, avec Cida, dans l’île, on a rencontré plein de monde. Cida connaît beaucoup de gens et elle connaît chaque ruelle et chaque recoin. Nous, on va de surprise en surprise. Elles sont ci-belles les petites ruelles, et la place qui a l’air d’une place italienne, où les enfants jouent, et la ruelle zigzaguante où une petite fille nous emmène pour faire son portrait, un zigzag qui débouche en hauteur au dessus de la rivière et où l’on voit tout São Bernardo.
On fait une boucle du pont au pont. Monter la rue du cyber café. Rue qui longe l’aéroport avec son mur peint et troué. La place italienne. Les ruelles. La rivière. Le terrain de foot. La rivière avec l’autre terrain de foot juste en face. Le pont.
En toutes ces rencontres, à chaque étape. Ce monsieur qui nous propose spontanément de nous ouvrir sa maison, pour filmer depuis sa terrasse. La dame qui fait le portrait puis sa sœur arrive et nous emmène ailleurs, vers la passerelle, un chapelet de sourires, on passe de l’un à l’autre avec partout un accueil curieux et chaleureux.

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