encore et encore, a la rencontre / Haverá mais encontros.

Hoje de manhã, em frente ao hotel, havia duas peruas VolksWagen que nos aguardavam, embarcamos e fomos. Foi uma verdadeira corrida para chegar até o Jardim Pantanal ! Uma das conduções quebrou. O motor pifou…
No Instituto Alana, já havia muita gente esperando. Jornalistas da cidade, pessoas do Instituto, fotógrafos, Catherine que vai acompanhar-nos durante toda a “veillée” e o pessoal da produção… No total, muitas pessoas. Demorou um pouco para entender quem era quem.
Vimos todas essas pessoas extraordinárias do instituto Alana. Ronaldo Delfino apresentado por todos como o líder da comunidade. Luzia e Claudia e todos as outras….
Fomos tão bem acolhidos nesse lugar colorido que é o Instituto… Aqui, é muito bonito: um país colorido, tanto nas paredes quanto nas roupas. Nem sempre há calçadas, mas há cores nas paredes : amarelo, azul, laranja, verde… As pessoas, nas ruas, tão simpáticas.
Tentamos usar as palavras em português que aprendemos.
Uma tentativa para conversar, explicar nosso trabalho… pedimos ajuda aos nossos tradutores.

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Devant l’hôtel ce matin, il y avait deux petits bus, des tubes VolksWagen, qui nous attendaient. On est tous monté dedans. Quelle course, pour aller jusqu’à Jardim Pantanal. Il y a un bus qui a fini par tomber en panne. A l’instituto Alana, il y avait déjà beaucoup de monde. Des journalistes de la ville, des gens de l’institut, des photographes – dont Catherine, qui va nous suivre pendant toute cette veillée – des gens de la production. Plein de monde. Ça a été long de comprendre, de savoir qui était qui. Il y a tous les gens extraordinaires de l’instituto Alana. Ronaldo Delfino, que tout le monde présente comme le leader de la communauté. Et Luzia, et Claudia et tous les autres. Il y a l’accueil dans cette bulle colorée de l’instituto. C’est très beau ici. C’est un pays de couleur. Les gens s’habillent en couleurs, les maisons sont colorées. Il n’y a peut-être pas de trottoir ici, mais il y a des fleurs sur les murs, et du bleu, du jaune, du orange, du vert. Et il y a les gens, dans la rue, si accueillants. On bafouille ce qu’on sait de portugais, on essaie de dire, d’expliquer, et puis on appelle au secours les traducteurs.

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