Stage à l’avant-scène, à Dunkerque, premier jour : on n’a rien sali.

Tout s’est bien passé. On a fait une première journée de stage, à Dunkerque, dans la salle de l’Avant-Scène, à deux pas du théâtre, le Bateau Feu. Avec une petite trentaine de professeurs de l’éducation nationale (pour la plupart des enseignants en éducation physique mais aussi des profs de français, d’allemand..). Toute la matinée a été consacrée à une forme d’écriture auto biographique autour d’Aimer si fort, le spectacle. Comment on est arrivé là, pourquoi on est venu là et aussi ce que représente dans l’histoire de chacun, Aimer si fort. L’exercice a pris plus de temps qu’on imaginait mais on était tous très touché par ce qui s’est raconté. Chaque histoire est à la fois singulière et extraordinaire. Un beau moment de vies. Puis on s’est donné une contrainte, le sol qui brûle et chacun s’est emparé d’une petite partie de texte pour la dire sur des charbons ardents. On est allé, pour quelques uns, se restaurer au petit restaurant, Les Coulisses. On a repris vers 14h13 ( avec 13 minutes de retard par rapport à ce qui était prévu au planning). On a consacré l’après-midi au texte, on a travaillé sur différentes expressions de la colère (par trois), chacun s’appropriant un extrait du texte qu’il choisissait. En fin de journée, on s’est raconté Aimer si fort, la pièce, normalement ou avec la contrainte de la négativité. Aujourd’hui la journée est dévolue  au mouvement et c’est Camille blanc qui prend le groupe en main.

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