Adieu « Gros catalogue »,
je crois qu’en cette vie
Je ne te reverrai jamais.
Internet passe, il m’appelle et t’oublie.
En te perdant, je sens que je t’aimais.
Pas de pleurs, pas de plainte vaine.
Je sais respecter l’avenir.
Vienne la toile qui t’emmène
En souriant je te verrai partir.
Tu t’en vas, plein d’espérance
Transformé tu reviendras
Mais ceux qui vont souffrir de ton absence,
tu ne les reconnaîtrais pas.
Adieu, « gros » catalogue
Un jour tu sentiras peut-être
Le prix d’un coeur qui nous comprend
Le bien qu’on trouve à le reconnaitre.
Et ce qu’on souffre en le perdant.