Quand on touche le fond, on n’a plus qu’à remonter…

On se dit au QG que le blog n’est pas très enjoué.

Mais comment être enjoué quand on nous raconte les réductions de personnel, l’exigence de rendement croissant et, la peur, la solidarité qui n’existe plus, l’isolement, la détresse, la victoire du capitalisme, la peur du chômage…

Heureusement que nous avons rencontré aussi des salariées heureuses d’avoir pu reprendre une formation, avoir un projet de reconversion, finalement qui nous disent que cela leur a permis de s’ouvrir à d’autres choses…

Comme m’a dit une dame hier : vous savez, Madame, quand on touche le fond, on n’a plus qu’à remonter…

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.