toucher les nuages du Machu Picchu

Isabelle habite à Guyancourt depuis neuf ans. Elle travaille à Renoir. Elle vient du Pérou. Elle dit : J’ai décidé de faire un grand voyage, je suis arrivée à Paris en touriste, c’était un voyage de courte durée qui dure depuis vingt ans. Je ne retourne pas régulièrement au Pérou. Heureusement, il y a internet pour rester en contact avec la famille.
Quand je suis arrivée à Paris, c’était un hiver très froid. Je suis sortie, j’ai marché sous la neige – c’était nouveau pour moi – et j’ai attrapé une bronchite.
Quand je suis arrivée, j’ai eu de la chance : j’ai rencontré mon mari. Il ne parlait pas du tout espagnol, et moi je parlais un tout petit peu anglais.
Dès que je peux, je pars, sinon, je voyage virtuellement.
Dans ma jeunesse j’avais toujours envie de voir ce qui se passe ailleurs.
Quand je retourne au Pérou, je me sens bien. Je retrouve mes racines. Mais au bout de vingt jours, j’ai envie de rentrer.
Je suis montée au Machu Picchu. Quand on arrive là-haut, on est fatigué ! On se demande comment les Incas ont pu amener ces pierres énormes. C’est tellement haut qu’on a l’impression qu’en levant le bras, on va toucher les nuages.

0 réflexion au sujet de « toucher les nuages du Machu Picchu »

  1. Chabuca Eh bien, votre vie en France, en un mot, il est toujours difficile, où que vous alliez, mais, pour la plupart des femmes. Et dites-leur non seulement de Machu Picchu, parler de lignes de Nazca, le Seigneur de Sipan et les ruines de Chavin de Huantar.

    Walter

    Pd.- Utilize el traductor de google por si acaso.

Répondre à Walter Herrera Annuler la réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.