a walk

There is a gift, that you send. You send it, in my way. They are things, that i regret… Je suis allé deux fois à Ferfay cette semaine, tôt le matin, près du nouveau cimetière. J’ai trouvé un banc et un sous bois. De là, je peux voir (comme surveiller) la cité 3 de loin (où j’ai vécu toute mon enfance). Là bas, on est sur les premières hauteurs des collines d’Artois. J’ai pensé à Carver, à ce poème (a walk) publié dans, Where water comes together with other water : …This is a quiet place. As good as any to break my walk, sit, and provide against my own death, wich comes on. But i don’t understand, and i don’t understand, all i know about this fine, sweaty life, my own or anyone else’s, is that in a little while i’ll will rise up and leave this astonishing place that gives shelter to death people. This greaveyard. And go…

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