Entre la médina et les chapiteaux de Sidi Moussa, il y a le Borj, au bord de l’Océan. Les premiers mouvements du festival Karacena 2014 ont démarré au Borj, et c’est là que nous revenons régulièrement voir des « apparitions » de circassiens de l’école de Shems’y. Aujourd’hui, dans le bureau de Ali, à l’école du cirque, nous apprenons que le Borj c’est un lieu de légende. C’est l’endroit où viennent pleurer les amoureux déçus. Ce soir, quand nous retournons au Borj pour dîner avec tous les gens de Karacena, nous y penserons, et nous penserons aussi à cette citation que beaucoup ont choisie hier dans la médina « L’amour impossible est celui qui résiste le mieux au temps ».