l'artiste peut il transformer le réel

Riri, Fifi et Loulou et la boîte mystérieuse. Le livre est derrière nous sur l’étagère…

On a rencontré Malika cet après midi et on a parlé du quartier. Malika est directrice de la maison de quartier A. Renoir.  On a dit que la ville était composée  à cinquante pour cent de logements sociaux et à cinquante pour cent de logements privés. Que cela permettait une plus grande mixité sociale. On ne fait pas la différence du point de vue de l’architecture entre ce qui est du logement privé et ce qui est du logement social. On a évoqué le dynamisme du quartier et de sa maison de quartier. On a évoqué la dimension « maison de la culture » de la maison de quartier. On s’est dit que pour que les gens aient moins peur de fréquenter les théâtres, il faudrait que les théâtres s’appellent des maisons du peuple. Qu’il faudrait que les activités des maisons de quartier aient lieu dans les théâtres et que les théâtres se produisent dans les maisons de quartier. On a dit que la culture est un moyen de construire ensemble un autre projet de société. On a dit qu’il faudrait politiser le réel.

Le château de Versailles est à dix minutes de la maison de quartier…

Jérémie et Flora sont partis au gymnase de l’aviation pour rencontrer et filmer l’association handisport. Martine est partie sur les traces de Bertille Bak, une jeune artiste barlinoise que nous avions rencontrée lors de notre veillée à la cité 5 de Barlin. Dans le bassin minier du Pas de Calais. Elle expose au Jeu de Paume.

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