zigzag

En porte à porte aujourd’hui, ça a été. Sauf que les cages d’escalier parisiennes sont bien étroites et qu’il manque souvent de recul pour les portraits sur le pas de la porte. Elles sont amusantes ces cages d’escalier qui racontent l’histoire : des étages riches, où elles sont larges, puis de plus en plus étroites, jusqu’aux combles, où elles se transforment en longs couloirs zigzagant sans logique architecturale, mais répondant au découpage en coup par coup, au fil des fluctuations de l’immobilier parisien.
On a eu le plaisir de rencontrer des gens charmants, comme cette dame belge qui nous a montré du chocolat comme objet culturel et qui nous en a offert un morceau (délicieux).
Ou bien une étudiante mexicaine qui nous montré les typiques caramels au lait de chèvre mexicains et nous en a laissé aussi, en dégustation.
Rapide grand écart autour du monde culinaire.
On a vu un vitrier qui nous a montré comment poser une vitre.
Et une joaillière qui nous a montré sa petite loupe, héritée de son père, emblème du quartier et de sa vie à elle, toute consacrée au bijou.
On retourne demain de porte en porte pour de nouveaux portraits et de nouveaux objets. .

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