entre deux portraits, de La Chesnaie (St Nazaire) à Ris Orangis

Deux mots pour le carnet de route avant de passer la main à Evry, Ris Orangis à qui il faut donner le bonjour de Hugo qui travaille aujourd’hui au théâtre de St Nazaire et qui travaillait auparavant au théâtre de l’Agora à Evry. On tourne une page difficile de notre livre des Veillées et des Portraits ; le quartier de La Chesnaie, à St Nazaire. A chaque fois unique, à chaque fois la fin du monde. C’est trop difficile de penser qu’on va peut-être ne pas revoir les gens. Rien ne dure. A la Chesnaie, les gens ont répondu avec enthousiasme à nos projets de rencontres et de réflexion. On a  participé à des conversations, écouté l’histoire du quartier, entendu des paroles, des propositions, des visions du monde, qu’ on devrait mettre en pratique à l’échelle du pays, de l’Europe , du monde et qui nous rendraient humainement formidables et heureux… C’est du là qu’est venu l’espoir, c’est de là qu’il renaîtra.

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